Viv’ Ansanm yon a lot !

Ce 3 décembre, dans le cadre de sa politique en faveur des personnes en situation de handicap, le Conseil départemental de la Guadeloupe marquera une nouvelle fois la Journée internationale du handicap.

Depuis 1992, cette journée célébrée à travers le monde vise à promouvoir les droits et le bien être des personnes handicapées et à accroître la sensibilisation à leur situation particulière dans tous les aspects de la vie politique, sociale, économique et culturelle.

Le thème retenu pour cette édition est « reconstruire en mieux – vers un monde post- COVID-19 inclusif accessible et durable ».

Un investissement dans notre avenir commun

L’inclusion du handicap est un aspect essentiel du respect des droits humains et du développement durable. Elle est essentielle à la promesse inscrite dans le Programme de développement durable à l’horizon 2030, à savoir ne laisser personne de côté. L’engagement pour la réalisation des droits des personnes handicapées n’est pas seulement une question de justice mais un investissement dans notre avenir commun auquel le Conseil départemental s’attelle au quotidien.

Le contexte sanitaire ne permettant pas l’organisation d’une nouvelle édition de la manifestation Viv’ Ansanm yon a lot visant à changer le regard sur le handicap, la présidente du Conseil départemental, Josette Borel-Lincertin, a choisi de célébrer cette journée en proposant une programmation en distanciel à travers le numérique, les réseaux sociaux mais aussi les médias classiques tels que la télévision et la radio.

Rompre l’isolement

Ainsi, afin que l’ensemble des dispositifs mis en œuvre par le Conseil départemental et la Maison Départementale des Personnes Handicapées (MDPH) soient mieux appréhendés pour un meilleur vivre ensemble, mercredi 2 et jeudi 3 décembre, des rendez-vous médias et numériques sur l’accompagnement au quotidien des personnes handicapées seront proposés.

Autant d’occasions de permettre aux personnes en situation de handicap de rompre l’isolement qui fait parfois leur quotidien et de mieux organiser leur prise en charge.

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