Mardi 23 août, en présence des représentants de l’État, de la Région, du Département, du député maire Elie Califer et de ses futurs utilisateurs, la ville de Saint-Claude a posé la première pierre de sa future Maison Universitaire de Santé.
Un projet d’envergure en centre-ville, entre l’église et l’ancienne mairie.
Depuis la place de l’église, un ouvrage discret qui ne fera pas obstacle à la vue vers les chaînes montagneuses du sud devrait voir le jour d’ici fin 2023.
Ainsi, l’annexe de la mairie, ouvrage emblématique de la commune, restera visible.
Une démarche originale a permis d’offrir une cinquième façade à ce bâtiment ultra-moderne, un toit végétalisé qui sera implanté en continuité de la place qui relie le parvis de l’église à l’ancienne mairie.
Un toit végétalisé
Un espace vert qui se veut pédagogique, dédié à des cultures de plantes médicinales en lien avec la fonction du lieu.
Le batiment est longiligne mais séquencé en quatre blocs séparés par des salles d’attente traversantes, ouvertes sur de petits jardins.
« Celles-ci, a expliqué Marc Jalet, architecte, sont reliées aux façades par de larges cadres d’aluminium de couleur, éléments contemporains de transition faisant référence à la sréréotomie des murs de pierres assemblées en « harpage », système constructif encore visible sur les vieilles bâtisses de Saint-Claude. »
Ce projet Àdoho est l’expression du travail de Marc Jalet, Emilie Berthelot, Nicolas Rigaudeau, Stessy Brane, architectes et urbanistes.
