Une arrivée tranquille et des rebondissements

Ce jeudi 25 février, les acteurs de la réunion se sont rendus tranquillement au Vélodrome de Gourdeliane où la réunion concernant les barrages qui bloquent la Guadeloupe depuis ce mercredi 24 février va commencer.

Une arrivée tranquille. Aux alentours de neuf heures du matin, les représentants du collectif et les élus sont arrivés les uns après les autres au Vélodrome de Gourdeliane. Sur place, les représentants de l’état et quelques élus étaient déjà en place dans la salle de réunion. À l’extérieur, une unité de gendarmerie a fait le déplacement pour assurer que tout se passe dans le calme.

Arrivée des protagonistes au Vélodrome de Gourdeliane :

Les représentants
du collectif déterminés


Réunis sur le côté, les représentants du collectif guidés par Jean-Yves Ramassamy sont entrés en dernier dans la salle de réunion. Selon le président du collectif, les acteurs sont déterminés à faire valoir les 32 points de revendication. En tout, 28 organisations professionnelles se sont réunies sous une seule bannière, l’amélioration de la situation économique de l’île.

Jean-Yves Ramassamy, porte-parole du collectif :


Dans la salle, les différents acteurs discutent en attendant l’ouverture de la réunion. Dans un coin, Jean-Yves Ramassamy et le préfet Alexandre Rochatte profitent de l’attente pour discuter. D’un côté comme de l’autre, les protagonistes ont exprimé la volonté de trouver une solution pérenne pour l’économie de la Guadeloupe. Les négociations ont commencé à l’abri des caméras des médias venus en nombre.

Toute la marinée et une partie de l’après-midi, ce sera le jeu du chat et de la souris, avec des interruptions de réunion pour se concerter. Mais, rapidement, il y a une réalité : des élus, la balle est passée au préfet qui seul peut, dans l’esprit du collectif, faire avancer le dossier. Surtout quand il est question de lui demander un abandon pur et simple des dettes fiscales et sociales des entreprises… Il ne peut le faire, c’est du ressort.. du Parlement qui doit voter une loi. Les débats se poursuivent.

Tafari TIROLIEN

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