Transat Cap Martinique : premières nuits en mer

Partie dimanche 1er mai, de la Trinité-sur-mer, la flotte se tient aujourd’hui dans 40 milles et glisse au portant dans le Golfe de Gascogne.

Après un départ sous vent faible et mer calme, certains marins se sont fait piéger par les effets de site du Golfe du Morbihan. Ils ont tous réussi à s’extraire de la pétole, hisser le spi et gagner quelques nœuds. La flotte glisse au portant dans le Golfe de Gascogne.

Malgré de belles conditions, pas facile pour tout le monde de se mettre dans le rythme après les vives émotions du départ. Sans compter la route semée d’embûches, sollicitant une vigilance constante !

Entre côte, cargos et vent

C’est d’autant plus vrai pour les skippers solos – qui ne pouvent pas compter sur le soutien d’un équipier – comme Etienne Lefort. Blessé au genou, il fera escale à La Corogne. Alexandre Ozon, lui, n’a pas réussi à éviter toutes les planches de bois sur son passage.

A l’approche des côtes espagnoles, les équipages devront jouer entre la côte, les cargos et le vent qui s’intensifiera après le passage de la Corogne car les alizés portugais sont costauds.

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