Traite et exploitation des femmes, ou par le travail informel, l’Outre-mer se distingue

La traite et l’exploitation des êtres humains ne s’est pas arrêtée avec l’abolition de l’esclavage en 1848…

Certaines activités vivent dans le péché depuis… longtemps avec peu de risques de se voir sanctionner. L’agriculture, des chantiers du BTP, les petits métiers comme jardinier, matelot pêcheur, etc. sont en séquence informelle, avec l’apport physique d’immigrés sans titres de séjour. Ces activités emploient des hommes importés par bateau, de nuit, sans les déclarer, en les payant de la main à la main sans feuille de paie. Esclavage ?

Les femmes aussi sont exploitées, dans d’autres activités, souvent sexuelles. La « belle vie » promise demande de bons mollets, pour arpenter les trottoirs, six jours sur sept. Esclavage ?

Selon l’étude du ministère de l’Intérieur et de la Justice sur la traite et l’exploitation des êtres humains en France et Outre-mer, en Guadeloupe et en Martinique, la traite et l’exploitation des femmes arrivent en tête. La Guyane et Mayotte se distinguent avec un fort taux d’exploitation par le travail. On en parle dans L’Hebdo Antilles-Guyane.

Carole Vénutolo : une vie pour le chant lyrique

Femme de conviction, la soprano guadeloupéenne, Carole Vénutolo, fêtera, en 2025, ses 30 ans de carrière. Pour amorcer cet événement et mieux prendre la mesure du chemin parcouru, la chanteuse lyrique a programmé une série de rencontres avec le public dans les communes de Guadeloupe, y compris dans les îles du Sud.

Son nouveau concept, entre concert et débat, permet d’échanger sur l’évolution et la place du chant lyrique en Guadeloupe. Entretien dans L’Hebdo Antilles-Guyane.

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