Tourisme. Le CTIG fait visiter la Guadeloupe à des journalistes de l’Hexagone

Caroline Paux est journaliste professionnelle, membre de l’Association des Journalistes de Tourisme. Photographe douée, elle a participé à une session de découverte de la Guadeloupe, un workshop digital organisé par le Comité du tourisme des îles de Guadeloupe (CTIG) mardi 9 novembre. Elle témoigne de son plaisir.

« J’ai passé mon après-midi en Guadeloupe aujourd’hui. Merci Internet ! Un workshop digital était organisé pour les journalistes par le Comité du Tourisme des Îles de Guadeloupe.

J’ai visité un lodge fabuleux à 5 mètres de hauteur avec piscine privée, au coeur de la forêt tropicale de Deshaies, chez Matthieu Cornet. J’ai failli apercevoir un colibri !

Tout à côté, le jardin de Valombreuse. J’ai découvert l’Îlot Palmiers aussi, à Pointe Noire, et ses cinq jardins avec Martine Durand. Puis je suis partie en randonnée et j’ai grimpé sur le volcan de la Soufrière, accompagnée d’un guide de montagne, bien sûr.

C’est une des randonnées les plus prisées des randonneurs. J’ai marché sans trop me fatiguer dans le merveilleux parc national de Guadeloupe.

Et puis j’ai visité le nord est de la Guadeloupe, avec Aurélien Anzala, la Grande Terre. Un lieu peut-être moins touristique que le reste du territoire, mais plein d’attraits. On l’appelle le grenier de la Guadeloupe et il présente, sur la côte, des falaises de plus de 80 mètres de hauteur, des chemins de randonnées accessibles, des activités nautiques à multiples facettes, la mangrove, la nature et ses oiseaux, mais aussi un joli patrimoine, des moulins, des habitations, et une gastronomie typique…

C’est ici qu’on trouve la distillerie Damoiseau, au Moule… Le rhum y est excellent. Mon après-midi fut vraiment trop courte pour découvrir toute la richesse de ce département d’outre-mer authentique. Merci pour ce voyage… Et j’ai bien envie d’y retourner en réel ! »

C’est l’une des initiatives mise en place par le CTIG, sous la houlette de Sonia Taillepierre, sa présidente et Willy Rosier, son directeur général. Le 26 octobre, c’est un public plus élargi, celui des journalistes francophones, qui avait été approché.

Facebook
Twitter
LinkedIn
WhatsApp
Email

Actualité

Politique

Economie

CULTURE

LES BONS PLANS​