À l’approche des Jeux olympiques de Paris, le sport français a massivement investi dans la science au service de la performance de ses athlètes.
Des sprinters aux muscles recouverts de capteurs, des avirons connectés qui permettent de mesurer l’angle et la puissance de chaque coup de rame, des salles d’entraînement appauvries en oxygène pour repousser les limites du corps humain, ou encore un bassin de natation piloté par une intelligence artificielle pour optimiser les mouvements des nageurs…
À l’approche des Jeux olympiques de Paris, le sport français a massivement investi dans la science au service de la performance de ses athlètes. Aujourd’hui, plus de 2 000 scientifiques les ont accompagnés au quotidien afin de ne rien laisser au hasard dans leur entraînement. C’est l’autre équipe de France, celle des scientifiques engagés auprès du rugby à 7, de l’aviron, du cyclisme handisport, de l’athlétisme, du badminton ou encore de la natation.
La fabrique de la performance
Au cœur de l’Institut national du sport et de la performance (Insep) mais aussi à travers tout le territoire, du Jura au Centre d’entraînement en altitude de Font-Romeu dans les Pyrénées, cette équipe de France des scientifiques a ouvert ses portes, dévoilant un regard inédit sur les secrets de fabrique de la performance. Ils sont au plus près d’athlètes qui visent l’or, comme la cycliste Valentine Fortin, la rameuse Emma Lunatti ou le champion du monde de natation, Maxime Grousset.
Plus vite, plus haut, plus fort : et si c’était en Grèce, il y a plus de 2 500 ans, que tout avait commencé ? Des sites archéologiques d’Olympie et de Delphes en passant par Athènes, d’autres scientifiques, des archéologues cette fois-ci, font des découvertes exceptionnelles. Elles nourrissent la création des Jeux olympiques à l’époque moderne et éclairent d’un jour nouveau l’histoire du sport. Autant de thèmes évoqués grâce à une plongée dans les coulisses de la préparation d’une exposition-événement au Musée du Louvre.
Jeudi 27 juin, à 21 h 05 sur France 5