Solidarité. A Capesterre Belle-Eau, le relogement n’est pas un vain mot

Dans les communes sinistrées, il fallait reloger les personnes qui avaient perdu leur logement pendant le passage de la tempête tropicale Fiona.

A Capesterre Belle-Eau, le maire, Jean-Philippe Courtois, les élus et les agents du CCAS ont recensé les victimes de cette injustice : se retrouver sans toit.

Avec les bailleurs sociaux, la SIG, que préside Jean-Philippe Courtois, et la SEMAG, que préside Betty Armougon, des solutions ont été trouvées rapidement.

Profitant de la visite de Guy Losbar, président du Conseil départemental, vendredi, des contrats ont été signés avec huit relogés. Tous par la SIG, dont le directeur général, Olivier Bajard, qui vient d’arriver à ce poste, était particulièrement heureux d’une part de signer les contrats, d’autre part de souligner l’excellent travail réalisé par les équipes de la SIG dans les communes sinistrées.

Moment d’intense émotion que celui de l’arrivée devant la table des relogé (e)s à l’appel de leurs noms, des dames d’un certain âge, un vieux monsieur avec une béquille, des jeunes femmes avec des enfants.

Certains ont témoigné de l’enfer qu’ils ont vécu la nuit du passage de la tempête ou depuis… Hébergés dans le gymnase de Capesterre Belle-Eau, ils ont été vite pris en charge par la municipalité.

Le président Guy Losbar et Jean-Philippe Courtois ont expliqué le principe des aides débloquées par le Conseil départemental pour que les sinistrés soient relogés dans des conditions décentes.

A l’issue de cette petite cérémonie, le directeur général de la SIG a dit son émotion :

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