Présidentielle. Valérie Pécresse en héritière de Jacques Chirac a dit son amour des Outre-mer

Demi-journée particulièrement agitée pour Valérie Pécresse en visite en Guadeloupe dans la dernière ligne droite de sa campagne pour la magistrature suprême : devenir la première femme présidente de la République française.

On voit le challenge, d’autant que la candidate des Républicains est créditée de moins de 10% des intentions de vite et qu’il reste 5 jours pour renverser la vapeur ou, à tout le moins, grimper jusqu’à une deuxième place qui se joue, actuellement, autour des 20%.

La mèche blonde au vent, les yeux bien ouverts, la silhouette longiligne, un tantinet réservée — l’éducation des jeunes filles du XVIe arrondissement — Valérie Pécresse a débarqué, ce lundi, à 13 h 45 en Guadeloupe et, jusqu’à sa rencontre avec un public clairsemé et choisi réuni dans la grande salle de l’Espace régional, au Raizet Les Abymes, elle a tourné en Grande-Terre, entre Les Abymes et le Moule, visitant l’usine sucrière de Gardel, faisant un tour au marché… Rencontrant des vrais gens dans leur vie de tous les jours.

A 18 heures, Valérie Pécresse était à l’Espace régional. Elle a d’ailleurs remercié chaleureusement Ary Chalus, président du Conseil régional avec lequel elle entretient de bons rapports.

L’occasion pour la candidate de rappeler son attachement pour les Outre-mer, en temps constant mais encore pus quand il y a une crise : le temps des ouragans Irma et Maria, elle avait soutenu par des aides financières le choc subi par les Îles du Nord et la Guadeloupe.

Le temps de la crise Covid, la région Île-de-France a envoyé des masques, puis des lits, des respirateurs… du matériel. A l’époque Ary Chalus était venu la voir à Paris.

La Guadeloupe n’est pas la seule à bénéficier des largesses de la Région qu’elle préside. Les autres territoires ultramarins ont bénéficié d’aides. Des millions d’euros parce que, quand on aime, on ne compte pas.

La Guadeloupe n’est pas la seule à bénéficier des largesses de la Région qu’elle préside. Les autres territoires ultramarins ont bénéficié d’aides. Des millions d’euros parce que, quand on aime, on ne compte pas.

Se présentant en héritière de Jacques Chirac, elle a dit tout ce qu’elle fera quand elle sera présidente : redonner toute leur lace aux Outre-mer, potentiellement capables d’étonner le monde. A condition d’en avoir les moyens financiers. Les moyens financiers, elle va les donner. A charge pour les collectivités, pour la Guadeloupe, de bien gérer et de les utiliser avec intelligence. Il y a les hommes et les femmes pour cela !

Se présentant en héritière de Jacques Chirac, elle a dit tout ce qu’elle fera quand elle sera présidente : redonner toute leur lace aux Outre-mer, potentiellement capables d’étonner le monde. A condition d’en avoir les moyens financiers. Les moyens financiers, elle va les donner. A charge pour les collectivités, pour la Guadeloupe, de bien gérer et de les utiliser avec intelligence. Il y a les hommes et les femmes pour cela !

Un discours plein d’espoir. Mais un peu plus de cent personnes pour l’entendre, c’est un peu juste.

A moins que ces personnes, et elle le leur a demandé, soit des ambassadrices de sa parole.

Pour ceux qui veulent en savoir plus sur le programme de Valérie Pécresse pour les Outre-mer : https://valeriepecresse.fr/projet/outre-mer/

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