Valérie Pécresse, candidate à la présidentielle française (le premier tour est samedi) voulait venir en Guadeloupe, « Outre-mer », depuis longtemps. « C’était prévu la semaine dernière mais j’ai eu le Covid ! Ah, J’avais hâte, j’avais hâte ! », a-t-elle dit à sa descente d’avion, à Pointe-à-Pitre, lundi 4 avril, à 13 h 45.
Bain de foule, remise de bouquets, de cadeaux originaux, embrassades, cris d’une foule acquise, quelques touristes descendus du même avion — « Je savais qu’elle voyageait avec nous, mais je ne l’ai pas vue », regrette un passager qui est l’un des premiers à bousculer tout le monde pour faire une photo ou une vidéo. La candidate sourit, sourit, sourit. Embrasse, embrase, embrasse…
La candidate fait son chemin à travers la foule compacte aux sons des kas qui sont là, fidèles aux candidats en visite; elle est cornaquée par Sonia Pétro, Jean Kassis, les fidèles, plus deux ou trois gardes du corps patients, par la police un peu fébrile.
On l’est toujours dans ces moments-là.
Quelques mots pour la presse :
Et encore la foule, enthousiaste. Plus tard, dans les rues, où Valérie Pécresse a souhaité aller au devant des Guadeloupéens, c’est le même enthousiaste, l’accueil bon enfant.
A la sortie de l’aéroport, un moment de rencontre avec la Guadeloupe :
A 18 heures, Valérie Pécresse sera à l’Espace régional du Raizet, pour un exercice de questions-réponses du public sensément filtré compte tenu de la place dans la grande salle.