Le député Max Mathiasin plaide devant la ministre de l’Éducation nationale pour une rémunération décente des AESH (accompagnants d’élèves en situation de handicap).
Le 5 mars s’est tenu, dans l’hémicycle de l’Assemblée nationale, un débat sur l’évaluation de la loi visant à lutter contre la précarité des accompagnants d’élèves en situation de handicap (AESH) et des assistants d’éducation en leur permettant d’obtenir un contrat à durée indéterminée (CDI) après respectivement 3 et 6 ans d’exercice.
Le député Max Mathiasin a plaidé devant la ministre de l’Éducation nationale, Mme Elisabeth Borne, pour un métier attractif et une rémunération décente des AESH.
Une rémunération inférieure à 900 € par mois, en dessous du seuil de pauvreté, n’est pas admissible. Ces professionnels admirables, qui permettent aux enfants en situation de handicap de bénéficier d’un accompagnement adapté et personnalisé à l’école, doivent pouvoir vivre du fruit de leur travail.