Une série documentaire inédite qui donne la parole aux « Street Artistes » ultramarins.
Jamais le Street Art n’a été aussi présent en Outre-mer. À Tahiti, Pointe-à-Pitre, Fort-de-France ou à La Réunion, les festivals se multiplient, exposant les « Street artistes » les plus reconnus.
Là où les graffitis, les peintures murales et les collages faisaient jusqu’à présent l’objet d’interventions ponctuelles et isolées, le Street Art est désormais accepté comme œuvre picturale majeure, mais aussi et surtout, comme un support d’expression.
Sans tabou, ni cliché
Outre-mer Street Art donne la parole aux « Street Artistes » ultramarins. Dans chaque numéro, l’artiste présente son œuvre majeure, ainsi que le discours politique et social qui en découle. L’occasion pour toute une nouvelle génération, qui rayonne notamment grâce aux réseaux sociaux, de proposer une autre vision de l’Outre-mer, sans tabou, ni cliché.
Dans le premier numéro de la série documentaire Outre-mer Street Art, à La Réunion, Jace nous emmène sur le bord des routes, à la recherche de ses « gouzous ».
Vecteur d’insertion
En Guadeloupe, le graffeur Shuck One dévoile « l’histoire en marche » sur la façade du Memorial ACTe de Pointe-à-Pitre, tandis que le champion du monde de bodypainting présente son exploit à Marie-Galante.
Dans la zone portuaire de la baie des Tourelles, en Martinique, découverte de la fresque d’O’shea, puis les portraits du graffeur Nuxuno Xän.
Après un détour à Papeete, puis à Mayotte, rendez-vous à Cayenne, où le collectif d’artistes Muzé Laru s’est associé à Médecins du monde pour développer le Street Art en Guyane.
Dimanche 11 septembre, à 22 h 55, sur Martinique la 1e