Mas maten Kongo-Karayib : une marée humaine dans les rues

En Guadeloupe, c’est le rituel du samedi-gras. Le déboulé format XXL du « mas maten Kongo-Karayib », au rythme des tambours « a-po », a encore une fois tenu toutes ses promesses.

Pendant la saison carnavalesque, il y a une règle à laquelle les carnavaliers ne dérogent pas. En fin de matinée, le samedi-gras, les spectateurs se massent le long du parcours pour apprécier le déboulé format XXL du « mas maten Kong-Karayib », au rythme des tambours « a-po ». L’édition 2023 a mis le tissu wax à l’honneur.

Adeptes et non-initiés

Et, il faut reconnaître que, cette année encore, le « mas maten Kongo-Karayib » était une véritable réussite. Même le temps, un instant incertain, n’a pas suffi à gâcher la fête. Ils étaient plusieurs milliers à former les rangs du « mas maten Kongo-Karayib ».

Les adeptes du « mas » – et d’autres, de passage en Guadeloupe – ont déboulé comme une marée humaine des Abymes au Gosier, en passant par les rues de Pointe-à-Pitre.

Une véritable institution, portée par le « group-a-po » Le Point, qui peut s’enorgueillir de réunir toujours plus de participants et de spectateurs.

Cécilia Larney

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