Marie-Galante : l’usine en travaux, les indemnités des planteurs en cours

Le quatrième Comité de suivi des travaux de l’usine sucrière et rhumière de Grand Anse de Marie-Galante s’est déroulé mercredi 29 septembre.

Maryse Etzol représentait à la fois la mairie de Grand-Bourg, la Communauté de Communes de Marie-Galante et le Conseil départemental. Le sous-préfet Bruno André représentait l’Etat, Jean-Claude Maes, maire de Capesterre-de-Marie-Galante, conseiller général, Olivier Serva, député de la circonscription étaient présents. Les représentants de l’usine aussi.

L’usine sucrière devrait
broyer en février 2022

Les travaux sur la chaudière endommagée au début de la récolte 2021 avancent bien, selon les dirigeants de l’usine sucrière. La récolte pourrait commencer en février 2022.

Problème soulevé par Olivier Serva, celui de l’indemnisation des planteurs qui n’ont pu faire broyer leurs cannes cette année. « Ils devraient être indemnisés au moins à 850 euros l’hectare, peut-être jusqu’à 1 000 euros. C’est en cours de négociations avec toutes les parties. », a dit le député, qui ensuite a mis en avant un Contrat de relance et de transition écologique qui pourrait être une solution aux problèmes de ce territoire.

Quel avenir pour ce territoire ?

L’avenir du territoire était la seconde questions de la journée. Bruno André, sous-préfet, a dit qu’il fallait résoudre les problèmes de la canne, de l’agriculture, diversifiée si possible, du tourisme, de l’industrie…

Il a plaidé pour un travail en concertation avec toutes les parties et le tissu économique de la Grande Galette, afin de trouver un cadre d’action et des financements.

Maryse Etzol se veut, à l’issue de cette réunion dense, rassurée. Elle ne perd pas de vue le souhait des élus de l’île, représentants de la population : autonomie énergétique, autosuffisance alimentaire, développement de la pêche et d’une agriculture diversifiée, tourisme intégré.

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