L’UGTG veut se faire entendre à Basse-Terre

Les grévistes de l’UGTG ont quitté leurs piquets de grève aux Sablières de Guadeloupe (Gourbeyre) et à la carrière de Deshaies pour investir les rues de Basse-Terre, ce 18 décembre.

Des véhicules exposant les revendications des salariés grévistes bloquent une rue aux abords du palais du Conseil départemental, à Basse-Terre, où se tient, ce vendredi 18 décembre, une réunion plénière pour le vote du budget primitif 2021 Solidarité sociale et relance territoriale.

Didier Dyvrande, de la section BTP du syndicat UGTG.
Photos : Elodie Soupama

La section BTP de l’UGTG a choisi de se faire entendre autrement, après un mois de mobilisation aux Sablières de Guadeloupe (Rivière-Sens, Gourbeyre) et à la carrière de Deshaies, depuis 3 semaines. Les grévistes réclament, entre autres, le respect du code du travail aux Sablières de Guadeloupe. « Dèpi dé mwa nou mèt en plas on CSE é patwon-la décidé fè sa i vlé, kon i vlé !, soutient Didier Dyvrande, responsable de la section BTP du syndicat UGTG. Jodla, nou an lari-la pou di moun ka ki fèt. »

A la carrière de Deshaies, les discussions ont nettement évolué après plusieurs semaines de mobilisation. Aujourd’hui, il ne reste plus qu’à trouver une porte de sortie pour le paiement des jours de grève.

Les grévistes ont choisi de donner une autre forme à leur mobilisation.
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