Des médecins ont été agressés, par des individus non identifiés (cagoules comme des truands de bas étage), en marge de la mobilisation sociale en Martinique. Alors que ces trois hommes se rendaient au travail, dans des services hospitaliers du CHU de la Martinique désertés par les suspendus et les portés malades…
Eux, ils allaient au boulot, en bons petits soldats. C’était le 1er février. Après les médecins, des cadres hospitaliers, quelques rares élus — sans doute apeurés ou pendant cyniquement aux élections législatives dan trois mois — ce sont, pêle-mêle, dans ne vraie fraternité d’armes (pour soigner) que les membres éminents du Syndicats des Hospitaliers se sont manifestés.