Le préfet de Guadeloupe à la rencontre des entreprises aidées par l’ADIE

Le préfet de Guadeloupe, Alexandre Rochatte, a rendu visite à trois entreprises de Basse-Terre qui ont récemment bénéficié de l’accompagnement de l’Association pour le droit à l’initiative économique (ADIE).

Entouré du directeur de l’ADIE, Jérôme Trinelle, du maire et de la première adjointe de Basse-Terre, André Atallah et Sonia Pétro, le préfet de Guadeloupe, Alexandre Rochatte, a rencontré, ce lundi 8 février, trois jeunes entrepreneures. Elles ont témoigné de leur expérience originale et des difficultés qu’elles ont réussi à surmonter grâce aux conseils de l’ADIE (l’Association pour le droit à l’initiative économique).

Martine Romarin a installé son restaurant D’Lis créole au village artisanal de Rivière-des-Pères. Forte de 15 années de métier dans le domaine de la restauration, Martine Romarin exerce aussi ses talents dans l’organisation de mariages et de cocktails. Malgré les difficultés, notamment liées à la crise sanitaire, Martine Romarin ne perd pas espoir. Elle réussit à maintenir son activité grâce aux conseils de l’ADIE.

Assistée de sa mère et de sa soeur, Martine Romarin (3e à gauche) fait part au préfet des difficultés auxquelles elle est confrontée depuis le début de l’épidémie.
Tenir dans la tourmente

Laïna Marcellin n’a que 22 ans. N’ayant pas pu poursuivre ses études après le bac pour des raisons personnelles, elle décide en 2017 de créer sa micro-entreprise. Laïna Marcellin se lance dans le soutien scolaire. Grâce à l’ADIE, elle a pu consolider son projet et vient de s’installer dans des locaux neufs au centre-ville. Son ambition : transformer son activité en un vrai coworking où les élèves ne seraient pas contraints par les horaires pour travailler leurs cours.

A 22 ans, Laïna (à droite) a osé affronter seule le parcours du combattant du créateur d’entreprise.

Jessica Jacobin a commencé la danse a 10 ans au sein de l’école Aïda. A 28 ans, elle vient de racheter l’entreprise où elle avait débuté comme élève il y a 18 ans et où elle était devenue professeur. Elle crée alors Artema. C’est sa rencontre avec l’ADIE en 2019, et surtout le soutien que lui apporte l’association depuis le début de la crise du Covid-19 qui lui permet de « tenir » pour traverser la tourmente.

Trois cas, trois trajectoires différentes qui illustrent à merveille le travail de l’ADIE : défendre le droit à l’initiative économique et rendre l’entreprenariat possible pour tous. « En ces temps difficiles de crise sanitaire, où les entrepreneurs connaissent des situations si dramatiques, ces missions prennent tout leur sens et se révèlent encore plus utiles », a fait remarquer le préfet de Guadeloupe, Alexandre Rochatte.

Jessica Jacobin (au centre) voudrait qu’Artema devienne un centre d’art pluridisciplinaire.
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