Ary Chalus a répondu favorablement à la sollicitation du président du Siaeag, Ferdy Louisy, pour consolider la trésorerie de la structure et que ce dernier assure le virement des salaires et paie ses fournisseurs.
Le président de Région Guadeloupe, Ary Chalus, vient de confirmées les décisions prises récemment par le Département, la CAGSC, la CANBT, la CANGT et la CARL, en vue de la création du Syndicat mixte ouvert (SMO) pour la gestion de l’eau potable et de l’assainissement.
Le préfet de Région a, par la suite, été saisi par courrier le 30 décembre, afin qu’il convoque la Commission Départementale de Coopération Intercommunale (CDCI) et qu’il prenne l’arrêté de création du SMO, dans les meilleurs délais. On attend sa réponse…
Enfin, jeudi 21 janvier, Ary Chalus a répondu favorablement à la sollicitation du président du Siaeag, Ferdy Louisy, pour consolider la trésorerie de la structure et que ce dernier puisse assurer le virement des salaires et paye ses fournisseurs.
2,5 millions
pour régler
les salaires
Comme la Région l’a fait en 2017 et 2018, en garantissant une ligne de trésorerie à hauteur de 2,5 millions d’euros, l’engagement pris envers le SIAEAG sera de nouveau tenu.
« L’avenir de ce service public, a dit Ary Chalus, est au cœur de nos préoccupations et particulièrement celui des salariés du SIAEAG, suivi avec la plus grande attention. »
La collectivité régionale poursuit sa politique hardie. Ainsi, le Plan d’Actions Prioritaires de 71 M€, dans lequel elle porte 36 M€ d’opérations, sera suivi d’un deuxième plan d’actions prioritaires, s’appuyant sur une dotation de 171 M€ votée lors de la plénière du conseil régional sur le plan de relance.
Le président de Région rappelle : « Les entreprises de Guadeloupe impactées par les conséquences de la crise sanitaire, auront l’opportunité́ de relancer leur activité, grâce à cet investissement considérable destiné, par ailleurs, à améliorer le service rendu aux usagers qui souffrent anormalement de manque d’eau. »
« La volonté de la Région Guadeloupe de régler la problématique de l’eau et de l’assainissement demeure intacte », rappelle-t-il.
L’UNSA-SIAEAG a été prévenu de cette décision.
Le courrier à l’UNSA-SIAEAG :