L’association féministe Koumbit Fanm Karayib rend hommage, en ce 1er mai, aux travailleuses qui luttent pour leurs droits.
Pour l’association féministe Koumbit Fanm Karayib, créée en 2020, le 1er mai, journée internationale des travailleurs et des travailleuses, est l’occasion de rappeler la lutte des femmes :
- pour l’accès à certains métiers
- pour l’égalité de salaire avec les hommes
- contre le « plafond de verre » et le « plancher collant »
Préserver les acquis
En ce 1er mai, l’association insiste sur une réalité : le travail « invisible des femmes continuellement dévouées aux tâches ménagères dans leur foyer ou pour l’entraide familiale et sociale ».
Certes, il y a eu des avancées qui, selon l’association Koumbit Fanm Karayib, « restent fragiles. Leur préservation doit être une priorité, parce qu’un retour en arrière est toujours possible. La pandémie liée à la Covid-19 montre que les femmes des Antilles sont encore mobilisées sur tous les fronts du travail. En première ligne dans le soin des malades, en deuxième ligne dans les métiers d’entretien, de distribution d’éducation, d’accueil et en troisième ligne dans le suivi scolaire et la prise en charge des enfants et des aîné.e.s. »