La biodiversité du fleuve Maroni, frontière naturelle avec le Suriname, pourrait disparaître. En cause l’orpaillage et ses pratiques débridées.
Le conseil scientifique du Parc Amazonien a demandé que des réponses urgentes soient données à ce problème.
De récentes missions scientifiques sur le Maroni conduisent au constat d’un appauvrissement drastique du fleuve, en termes de diversité et de quantité des espèces rencontrées. Conséquences de l’activité minière.
Lors de sa dernière réunion, les 29 et 30 novembre derniers, le conseil scientifique du Parc amazonien de Guyane a pris acte des résultats de ces missions, et adopté une motion (en annexe, ci-dessous) visant à alerter les autorités publiques sur cette situation, ses causes et ses conséquences.
La motion :