Dans un communiqué, la Commission médicale d’établissement du Centre hospitalier universitaire de la Guadeloupe (CHU) indique que la majorité des soins doit être déprogrammés. Une conséquence de la situation sociale actuelle.
« La Commission médicale d’établissement déplore la dégradation de la crise qui affecte les malades et les soignants. Pour la première fois dans un conflit social, les soignants, agressés verbalement et physiquement, sont empêchés de se rendre sur leur lieu de travail au chevet des patients. »
La Commission médicale d’établissement du CHU de Guadeloupe précise que la qualité et la sécurité des soins urgents est maintenue.