Le président du Conseil départemental considère que la décision de non-lieu rendue dans l’affaire du scandale de l’empoisonnement des terres et des populations de Guadeloupe et de Martinique par le Chlordecone est aussi juridiquement et matériellement inexplicable que profondément injuste.
Pour Guy Losbar, elle constitue un véritable déni de démocratie qui oblige les élus, les institutions et la société civile à faire bloc face à l’impact conjugué de la pollution sur la santé de nos compatriotes, sur l’agriculture et sur la pêche.
Le président du Département réaffirme son engagement à accompagner les associations et les collectivités, notamment dans la poursuite de l’action judiciaire.