Guadeloupe. Le West Indies Green Festival a trouvé son public

Alors que les festivités se poursuivent ce dimanche 23 juin, le West Indies Green Festival a connu un beau démarrage, samedi, au Moule.

La troisième édition du West Indies Green Festival a été lancée, samedi 22 juin, au stade Jacques Ponrémy du Moule. Pendant tout le week-end, les festivaliers peuvent profiter de performances d’artistes de renommée internationale, sensible au développement durable et à la nécessité de protéger l’environnement, l’ADN de l’événement.

En arrivant au « parc », le premier espace qui précède la scène, quelques mètres plus loin, vous ne pouvez pas manquer ses œuvres. Ses peintures composées de portraits d’artistes ou de personnalités de la culture guadeloupéenne attirent naturellement le regard.

De la toile au festival

Megan Flessel, « TheeHimawari » fait partie des six artistes invités par l’organisation pour exposer leurs créations durant le week-end pour que la fête autour de l’art soit complète.

Megan Flessel, qui a commencé à peindre après le confinement, a toujours considéré son art comme une autre manière de s’exprimer et « de se retrouver ». « D’habitude je partage mon travail sur les réseaux, explique Megan Flessel. Avec cette exposition au festival, je peux rencontrer le public, il y a beaucoup de retours positifs qui me poussent à continuer ! »

À l’instar du festival, l’exposition est placée sous le thème, « Konsyans é plezi » prôné par le festival. Le West Indies Green festival est en effet un éco-festival qui sensibilise les festivaliers sur l’importance du zéro déchet. Afin d’assurer cette politique, des agents vont à la rencontre des festivaliers pour les sensibiliser aux bonnes pratiques. Au sein du parc, les festivaliers ont également accès à plusieurs stands de sensibilisation qui proposent une activité ludique.

Reggae, zouk, dancehall…

Sur scène, le spectacle a été assuré lors de cette première soirée par de nombreux artistes dont le Martiniquais Saël qui a interprété un grand nombre de ses tubes, dont Marie-José, Kenbé rèd pa moli… Du reggae, du zouk et de la dancehall étaient au programme sans oublier le groupe dominiquais international de bouyon, Triple Kay.

Les festivaliers se sont « ambiancés » avec un cocktail de musiques caribéennes avec Saïk, Perle Lama, Jocelyne Béroard, chanteuse du groupe Kassav’, qui a clôturé la première soirée riche en musique et en émotion. 

Les festivités se poursuivent, dimanche 23 juin, notamment avec le passage du rappeur Niska, particulièrement attendu par les festivaliers.

Tafari Tirolien

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