Bordeaux, Nantes, La Rochelle souhaitent que l’Etat français répare les dommages subis par le peuple haïtien du fait de l’esclavage.
Le texte est assez ambigu pour qu’on puisse se poser la question de réparations matérielles ou morales… par les entreprises, les collectivités.
Là où il n’y a pas d’ambiguité dans l’esprit des trois maires signataires, c’est pour ce qui est de la réparation financière par l’Etat français : « Nous invitons l’Etat français à contribuer au redressement d’Haïti par la réparation morale et financière. »