Guyane la 1e programme deux courts-métrages de réalisatrices guyanaises pour marquer la Journée internationale de lutte contre les violences faites aux femmes, ce jeudi 25 novembre.
Signé Marie-Sandrine Bacoul, La violence ne rend pas aveugle veut provoquer une prise de conscience sur les conséquences traumatiques des violences conjugales sur les enfants.
Mathys, 7 ans, nous emmène sur le chemin de ses émotions. Un film poignant et réaliste.
Un monde imaginaire pour fuir la réalité
L’autre court-métrage programmé sur Guyane la 1e pour la Journée internationale de lutte contre les violences faites aux femmes, est réalisé par Chloé Bebronne.
Ma mère est une super héroïne traite de la violence conjugale vue par un enfant qui fuit cette réalité sordide en construisant un monde imaginaire. Cette fiction sensibilise chacun à la nécessité d’agir et de réagir face au fléau des violences intrafamiliales.