Chlordécone : les bananiers veulent un procès

Depuis l’audition des avocats et des parties civiles par deux juges d’instruction du tribunal judiciaire de Paris, mercredi 20 janvier, on sait qu’un non-lieu pourrait être prononcé dans le dossier de la chlordécone.

En effet, les faits pourraient être prescrits, selon les magistrats qui ont cependant accordé une quinzaine de jours aux plaignants pour déposer des arguments en faveur du procès.

Les groupements de planteurs de bananes, parties civiles – ils disent avoir utilisé la chlordécone en toute bonne foi puisqu’elke était autorisée par le gouvernement – veulent qu’un procès soit tenu pour dissiper les doutes. Ils l’ont fait savoir par communiqué.

Le communiqué des planteurs :

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