Chlordécone. « Le combat continue », affirme Me Harry Durimel, qui a déposé de nouveaux documents

Dans l’affaire de la chlordécone, les parties civiles avaient jusqu’au 25 juin pour faire des observations ou demander de nouveaux actes d’investigations. On sent que les magistrats instructeurs respectent le contradictoire mais sont pressés de conclure et de mettre le dossier dans un profond placard… si rien de nouveau n’est apporté à leur appréciation.

Me Harry Durimel a présenté des observations et demandes d’actes qui ont été adressées la semaine dernière aux juges d’instruction en charge de l’information judiciaire au Pôle Santé du Tribunal judiciaire de Paris.

En fait, il s’agit désormais d’éviter que le juge d’instruction ne conclue que l’affaire est prescrite.

Le 23 février 2006, l’Union des producteurs agricoles de la Guadeloupe et l’Union régionale des consommateurs de Guadeloupe ont déposé plainte et cette plainte a interrompu le temps de la prescription, affirme Me Harry Durimel dans une note.

Me Durimel fait aussi état d’un faux en écriture publique découvert dans le dossier… à propos d’un arrêté de dérogation… qui renforce ses démarches afin que le dossier ne soit pas purement et simplement classé… au grand plaisir de l’Etat, des pollueurs, etc.

La note de Me Harry Durimel :

Voir aussi :

https://www.karibinfo.com/index.php/2022/06/27/chlordecone-le-tribunal-administratif-de-paris-rejette-lindemnisation-de-1-300-victimes/

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