Jeudi 15 août 2024, le vice-chancelier de l’Université des Antilles (UWI), le professeur Sir Hilary Beckles, a publié une déclaration en réponse à la récente déclaration de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) du mpox comme urgence sanitaire. de portée internationale (HEIC).
La déclaration de l’OMS, faite le 14 août 2024, souligne la propagation rapide et la gravité du virus mpox, qui a connu une augmentation significative des cas et des décès, notamment en Afrique. Le virus, anciennement connu sous le nom de variole du singe, s’est propagé dans divers pays, la République démocratique du Congo (RDC) étant particulièrement touchée1.
Dans sa déclaration, le professeur Beckles a souligné l’engagement de l’UWI à tirer parti de ses vastes capacités de recherche pour lutter contre l’épidémie de mpox. « En tant que principale université des Caraïbes, l’UWI s’engage à consacrer son expertise considérable en matière de recherche au bien public, en travaillant avec des partenaires régionaux pour aider à relever ce défi », a-t-il déclaré.
L’UWI a acquis des technologies avancées de séquençage des virus pendant la pandémie de COVID-19, qui peuvent désormais être réutilisées pour détecter précocement le mpox. Ces technologies permettront un diagnostic rapide et précis du virus, une étape cruciale pour contrôler sa propagation.
L’université prévoit de collaborer étroitement avec les ministères régionaux de la Santé, l’Autorité de santé publique des Caraïbes (CARPHA) et l’Organisation panaméricaine de la santé (OPS) pour faire face à toute introduction potentielle du virus dans la région des Caraïbes.
La déclaration de l’OMS souligne le besoin urgent d’une réponse mondiale coordonnée à l’épidémie de mpox. La position proactive de l’UWI et sa volonté de déployer ses ressources reflètent l’engagement de l’institution en faveur de la santé publique et du bien-être régional.
Source : Dominican News Online
