Depuis le début de l’année 2020, la Direction de la Vie des Quartiers de la Ville de Sainte-Anne a entamé le projet intitulé Diagnostics de sécurité aux abords des établissements scolaires. « Ceci, explique le maire de Sainte-Anne, Christian Baptiste, afin de rendre les déplacements des enfants vers les écoles plus sûrs et plus respectueux de l’environnement. Pour ce faire, la Ville mène, parallèlement, deux actions conjointes : des visites de terrain dans les établissements scolaires et une enquête Sécurité aux abords des écoles. »
En raison de la crise sanitaire, les visites de terrain, ainsi que les études et diagnostics de sécurité ont été interrompus au mois de mars 2020 et ont repris le 10 novembre. La Ville relance donc l’enquête sur la sécurité aux abords des écoles à destination des parents, associations, riverains, … et se rendra ce lundi 14 décembre à 11 heures au collège O. Ramé Décorbin de Douville pour effectuer un diagnostic de l’environnement de cet établissement.
Sécuriser l’environnement des établissements scolaires
« Ce projet global s’inscrit dans le cadre de la Circulaire du 25 novembre 2015 qui fixe les consignes du plan Vigipirate et les dispositifs de mise en sécurité des établissements scolaires. Il permet, dit encore M. Baptiste, aux techniciens d’évaluer les actions déjà mises en place et d’envisager d’éventuelles pistes d’amélioration pour les prochaines années, tant en matière de sécurisation des établissements dans leur environnement qu’en matière de circulation des usagers. »
Une fois les enquêtes et les visites de diagnostic terminées, des solutions pourront être envisagées, comme la signature d’un Plan de Déplacement des Établissements Scolaires- PDES avec l’Etat.
Un staff technique
Les diagnostics sont réalisés en partenariat avec le Pôle Education de la Ville de Sainte-Anne le Rectorat, la Mission Économie et Expertise des Mobilités – Service Transports Mobilités Éducation et Sécurité Routière de la Préfecture, le Syndicat Mixte Routes de Guadeloupe, le SDIS, la Police municipale et le Pôle Technique de la Ville, la Gendarmerie nationale et les associations de parents d’élèves.
