Une voiture à pain par ici, un temple hindou par là… Et les réseaux sociaux qui amplifient, donnant la parole aux uns et aux autres. La Guadeloupe vit des moments, s’ils étaient exploités par des âmes malveillantes, qui pourraient s’avérer difficiles, avec des conflits raciaux qui pourraient déboucher sur des pogroms. Du moins, c’est ce que pensent certains observateurs. D’autres non.
Victorin Lurel, républicain de choc, a écrit un communiqué que nous publions, dans lequel il demande l’apaisement (en est-on déjà là ?), à tout le moins que chacun se reprenne et que l’on ne profite pas de quelques cas isolés, qui concernent quelques individus qui devraient tout autant être isolés, pour gonfler les affaires et leur donner un écho que chacun regretterait, plus tard, de voir dégénérer.
Voici le courrier :