Incontournable à Pointe-à-Pitre, le déboulé, très attendu, des « group-a-po » a succédé au défilé des groupes à caisses claires, à sono…, inscrits au concours, ce dimanche 19 février.
Après la fête, il conviendra de s’interroger – vraiment – sur les faits de violence en marge du carnaval.
À Pointe-à-Pitre, cette édition de retrouvailles entre public et carnavaliers après deux années de crise Covid avait débuté sous les meilleurs auspices en début d’après-midi. La trentaine de groupes inscrits au concours ont offert au public venu en nombre et en famille, un spectacle de toute beauté.
Les « group-a-po » n’étaient pas en reste
Comme le veut la tradition, en début de soirée, les « group-a-po » ont investi les rues pour leur déboulé avec un passage par la zone Concours. Mangrov’la, Klé-la, Akiyo, qui avait sorti le grand jeu avec un décor, Le Point d’interrogation… ont aussi montré qu’ils n’étaient pas en reste.
L’interpellation d’un individu armé vers 21 h 30, non loin de la zone Concours, n’a pas démobilisé les « group-a-po » qui ont poursuivi leur circuit dans les rues de Pointe-à-Pitre.
Cécilia Larney