Indira Ampiot, Miss France 2023, était mercredi 25 janvier en visite à Basse-Terre, sa ville natale. Le public sous le charme de sa reine de beauté lui a réservé un accueil triomphal.
De retour dans son île après sa magnifique élection le mois dernier à Paris, la jeune fille a tenu à venir communier avec la population qui la soutient avec ferveur depuis qu’elle est devenue Miss Basse-Terre il y a un peu plus d’un an.
Sincèrement heureuse de revenir parmi les siens, elle a illuminé la ville de son gracieux sourire durant deux heures, à la tête d’un cortège impressionnant à travers les rues du chef-lieu. Simple et naturelle, elle s’est prêtée sous un soleil radieux au jeu des autographes et des photos-souvenir.
Après ce bain de foule, plusieurs personnalités parmi lesquelles les représentants des collectivités, venues dans le salon d’honneur de la mairie pour l’accueillir, l’ont félicitée et remerciée pour la fierté procurée à la Guadeloupe toute entière, et singulièrement Basse-Terre par ce succès national.
Une immense fierté
Les partenaires de l’aventure vécue par Indira (Région Guadeloupe, Air caraïbes…) ainsi que les responsables de l’équipe qui l’entoure ont aussi exprimé leur émotion et leur plaisir d’avoir contribué à cette consécration.
Sa maman Béatrice, particulièrement émue, est revenue sur le parcours exceptionnel de sa « petite Didi » et l’a remerciée pour ce joli cadeau. « Tu es une grande fierté pour nous tous, et un plaisir immense pour moi, a-t-elle déclaré. Toutes les mamans n’ont pas la chance d’avoir une fille Miss France… »
Marvin Babin, président du Comité Miss Basse-Terre, qui avait repéré Indira il y a 5 ans, alors qu’elle se promenait dans les rues de la ville avec sa maman, a voulu lui dire officiellement merci « pour toutes les paillettes qu’elle a mis dans nos yeux et la joie qu’elle a mis dans nos cœurs. »
« Ta victoire nous fait du bien, a conclu le maire André Atallah. Après l’année si difficile que nous avons vécue, tu fais revenir le bonheur parmi nous. Pour cela nous ne te remercierons jamais assez. »