La variole du singe, déclarée par l’ONU urgence sanitaire mondiale en raison de sa propagation, a été diagnostiquée chez une personne résidant en Guadeloupe, annonce l’ARS.
Le malade est une personne de retour de l’Hexagone et contact d’un cas confirmé en Île-de-France.
Ce patient a été pris en charge et est suivi médicalement. Il ne présente aucun signe de gravité, affirme l’ARS. Qui ajoute qu’il a été placé en isolement à domicile dès l’apparition des tous premiers signes cliniques évocateurs de cette maladie.
L’ARS et Santé Publique France poursuivent les investigations épidémiologiques utiles pour limiter les risques de diffusion dans l’entourage.
Un premier cas résidant en Île-de-France avait été détecté au début du mois de juillet, révèle l’ARS qui n’en avait rien dit aors.
Cette personne qui, selon l’ARS, « avait respecté dès son arrivée un isolement strict sous la surveillance d’un parent professionnel de santé est repartie depuis de la Guadeloupe. »
Pour rappel, le virus de la variole du singe peut être transmis par contact direct avec les lésions cutanées ou les muqueuses d’une personne malade ainsi que par les gouttelettes (salive, éternuements, postillons…).
Les rapports sexuels avec ou sans pénétration réunissent ces conditions pour une contamination ; et avoir plusieurs partenaires augmente le risque d’être exposé au virus.
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