L’archipel Guadeloupe bénéficie de 27 ports départementaux, répartis sur toutes les communes, sauf Saint-Claude. Lors de son discours de politique générale, Guy Losbar, président du Conseil départemental, a rappelé que la Guadeloupe était un archipel, avec plusieurs îles habitées, communes qui ont une population importante de marins, communes reliées au continent par voie maritime. D’où des ports, parfois plusieurs dans une même commune, port de pêche, port de transport, port de fret, port de plaisance.
Ces ports, construits pour les plus récents il y a une vingtaine d’années, ont besoin d’un relooking : restauration, modernisation, agrandissement…
Ce sont ces travaux qui sont entrepris et qui dureront tout le temps de la mandature afin de doter la Guadeloupe d’infrastructures portuaires efficientes qui seront un plus pour l’économie de l’archipel.
En effet, rassurer la population de marins-pêcheurs — former la relève est l’une des ambitions du Conseil départemental —, lui offrir, avec le concours de la Région Guadeloupe, des infrastructures modernes — machine à glace, poste à essence, cale, etc. — inciter au transport par mer des biens de consommation — y compris entre pôles — Basse-Terre, Sainte-Rose, Bouillante, Capesterre Belle-Eau — en plus des escales obligées que sont Marie-Galante, la Désirade, Les Saintes… Donner leur place aux infrastructures de loisirs — piscine en eau de mer, marina, etc.
Faire en sorte que cette ouverture sur la mer et ses opportunités sorte des cartons et du rêve de quelques visionnaires…
Modèle d’intégration portuaire, avec le port de pêche, le port de fret, le port de plaisance, le site de loisirs, la piscine d’eau de mer : Sainte-Rose dont le maire, Adrien Baron, a pris les choses en main, soutenu à 200% par le Conseil départemental et le Conseil régional.
