Ce mardi 13 juillet, Cannes se met aux couleurs du cinéma panafricain. Sur les six films programmés pour cette journée spéciale, trois sont signés des réalisateurs guadeloupéens Tony Coco-Viloin et Blaise Mendjiwa.
En attendant la 18e édition du Festival panafricain de Cannes, du 19 au 24 octobre, l’hôtel Radisson Blu, à Cannes, accueille la Journée du cinéma panafricain, ce mardi 13 juillet, dès 14 heures (heure de Paris).
La Guadeloupe est à l’honneur pour l’ouverture de cette journée spéciale, avec la diffusion du court-métrage de Tony Coco-Viloin, directeur d’Epices (Ecole préparatoire aux initiatives cinématographiques) Guadeloupe, Tout le monde est là.
Suivra, le long métrage, L’Autre clef. Une réalisation de Tony Coco-Viloin, soutenue par la Ville de Basse-Terre. Le film a été tourné entre Cannes, la Guadeloupe, l’Égypte, Washington, Paris, la Tunisie, le Maroc, le Sénégal, le Burkina Faso et l’Afrique du Sud.
Guadeloupe, Algérie, Maroc, République démocratique du Congo…
Également programmé, le documentaire plusieurs fois primé de Blaise Mendjiwa, Le Monde racisé du cinéma français – Le talent n’a pas de couleur.
- Koko Simon Kimbangu : un siècle d’histoire 6/4/1921 – 6/4/2021, de la réalisatrice congolaise, Nolda Di Massamba
- Matares, de l’Algérien, Rachid Benhadj
- Riad de mes rêves, de Zineb Tamourt (Maroc)
- Comme un air de famille, de Caroline Pochon, composent la programmation de la Journée du cinéma panafricain de Cannes.
Agences et commissions du film de La Réunion, de Guyane (Chris Laure Philips), de la Martinique (Gil Zobda)… sont présents pour l’occasion.