Ce n’est pas la première fois que l’Organisation mondiale des Nations Unies accuse le gouvernement cubain d’avoir commis des crimes contre l’humanité. Dernière remontrance en date, le cas de Daniel Ferrer, un opposant du gouvernement cubain. Arrêté en octobre 2019 et accusé d’ « attentat » et de crimes de droits communs, l’opposant du gouvernement cubain a reçu le soutien de l’ONU.
Selon le rapport publié ce lundi 9 novembre par le Groupe de travail sur la détention arbitraire des Nations Unies (ONU), l’arrestation et la détention jusqu’en avril 2020 de Daniel Ferrer et d’autres membres de son groupe d’opposition l’Union patriotique de Cuba (UNPACU), étaient « arbitraires » et « le résultat d’une discrimination de pensée et d’opinion ».
Selon l’organisation Human Cuban Prisoners Defenders (CPD), Cuba pratiquerait systématiquement 7 types de crimes contre l’humanité sur les onze définis par le Statut de Rome.
Source : Cubanet