Samedi 22 mai, Ary Chalus, accompagné de Christian Baptiste, maire de Sainte-Anne, et de Diana Perran, vice-présidente de la Région, ont visité a base nautique régionale de Sainte-Anne.
L’association ANASA, présidée par Carl Chipotel, leur a fait visiter les installations, avant le visionnaire d’un film retraçant la prise en mains de la base par l’ANASA et le développement des activités depuis celle-ci.
La base nautique de Sainte-Anne a toujours eu les faveurs de la Région depuis sa reprise par l’ANASA de Carl Chipotel.
En effet, les activités s’y sont multipliées sur un plan d’eau de grande qualité :
. l’Accueil des tout-petits jusqu’aux adultes sans limite d’âge (activités nautiques et détente)
. des ateliers ludiques
. l’accueil des handicapés (matériel y compris voiliers adaptés)
. la pratique de la voile, du kayak, de la planche et du vélo de mer, etc.
De la simple détente à l’entraînement sportif.
« Offrir la mer à tous »
Carl Chipotel
Carl Chipotel a présenté le projet de la base nautique.
Quatre volets qu’il faudra mener à bien :
. Éducatif social : généraliser les pratiques nautiques dans les établissements scolaires et proposer des choses aux aînés
. Sportif : former des sportifs (voile traditionnelle, voile de compétition, planche à voile, etc.)
. Formation : ambition de décliner des formations dont on a besoin en nautisme
. Volet commercial : publics endogènes et exogènes, événements et club house (dès juillet 2021).
Pour ce faire, Carl Chipotel qui met sa passion de la voile avant la politique veut travailler avec la Ligue de Voile, la Fédération Française de Voile, la municipalité, la Région.
Dans un petit discours, précis, Ary Chalus a dit que la Région sera toujours aux côtés de projets qui font avancer les choses en Guadeloupe et mis en avant un skipper de qualité, Rodolphe Sépho, qui a révélé son souhait de participer sur Imoka (la catégorie phare) à la Route du Rhum en 2022 et la Vendée Globe en 2024. Avec le soutien de la Région. Mais aussi des entreprises sponsors, le projet étant lourd financièrement.
André-Jean VIDAL
