La députée Justine Benin et le sénateur Dominique Théophile saluent dans un communiqué l’adoption définitive de la loi rénovant la gouvernance du service public d’eau potable et d’assainissement en Guadeloupe.
La loi rénovant la gouvernance du service public d’eau potable et d’assainissement en Guadeloupe fixe le cadre de la structure unique.
Le chemin a été long pour en arriver à ce stade : plus d’une cinquantaine d’auditions, des centaines d’heures d’échanges et de discussions pas toujours faciles avec l’ensemble des acteurs concernés ; élus des collectivités, intercommunalités, Région, Département, associations d’usagers, syndicats… Les débats à l’Assemblée nationale et au Sénat ont été mouvementées, avec un travail et des avancées. Et un consensus partagé, aussi bien au niveau local qu’au niveau national, pour fixer la structure unique de l’eau et de l’assainissement voulue depuis plus de dix ans.
« L’aboutissement de cette procédure parlementaire illustre l’engagement de la représentation nationale pour que chaque Guadeloupéenne et Guadeloupéen puisse avoir un service public de l’eau potable et de l’assainissement de qualité », a dit Dominique Théophile.
Tout au long de la navette entre l’Assemblée nationale et le Sénat, les travaux des députés et des sénateurs ont obtenu des avancées concrètes et ambitieuses, dans un esprit transpartisan. Les usagers seront, ont dit les élus, « pleinement associés à la gouvernance de cette structure unique, grâce à la création d’une commission de surveillance aux compétences élargies, dont le président sera lui-même un usager et siègera au comité syndical de la structure unique. »
Le syndicat unique de l’eau potable et de l’assainissement en Guadeloupe constitue la première pierre indispensable pour restaurer la confiance des populations.