Masque à l’école : soutien de la rectrice d’Académie de Guadeloupe aux personnels des écoles et du rectorat

« Depuis l’entrée en vigueur le 22 février du port du masque pour les enfants à partir de 6 ans dans l’académie de Guadeloupe l’ensemble des personnels des écoles accompagnent les familles en étant à l’écoute et en favorisant le dialogue dans le but de maintenir un climat serein et épanouissant pour chaque élève », explique Christine Gangloff-Ziegler, rectrice, dans un communiqué. 

La rectrice salue « les efforts réalisés et apporte tout son soutien à l’ensemble de la communauté éducative qui fait preuve, depuis le début de cette pandémie, d’un dévouement exemplaire, d’une profonde bienveillance et d’une grande résilience au service de tous les élèves qui leurs sont confiés, particulièrement les plus fragiles d’entre eux. »

Aujourd’hui, 98% des enfants portent le masque contribuant à contenir les indicateurs qui sont stables mais encore fragiles

Comme précisé par les autorités sanitaires il n’existe pas de contre-indications documentées, dermatologiques, pneumologiques, ORL et phoniatriques ou psychiatriques, au port de masque quel que soit son type (masque à usage médical, masque grand public en tissu réutilisable).

Les enfants de plus de 6 ans en situation de handicap au sens du code de l’action sociale et des familles (article L114), dont l’autisme sévère ou tout autre trouble analogue, sont cependant couverts par la dérogation générale au port du masque, fixée à l’article 2 du décret du 29 octobre 2020.

Dans le certificat qu’il établit, le médecin se prononce alors, dans le respect du secret médical et sans avoir à en indiquer la nature, sur l’existence d’une situation de handicap justifiant qu’il soit dérogé à l’obligation de port du masque, conformément aux dispositions du décret du 29 octobre 2020.

Comme le rappelle l’ARS, en dehors de situations exceptionnelles, il ne doit être délivré aucun certificat contre indiquant le port du masque, le médecin devant refuser d’accéder à des demandes qui ne sont pas médicalement justifiées. Cette exigence vise à protéger les autres enfants et les personnels. Ainsi, le médecin scolaire, avisé, peut légitimement, s’il a un doute, prendre contact avec le médecin ayant délivré le certificat.

Une rencontre sera prochainement organisée avec l’ensemble des parlementaires, dans la continuité des échanges engagés le 25 février 2021.

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