Après la Guyane et la Martinique, la 8e édition du festival Mois kréyol de Difé kako s’achève en Guadeloupe.
Plusieurs communes de Guadeloupe accueilleront des prestations de danse, du théâtre, des ateliers, rencontres, projections…, jusqu’au 25 janvier.
Pour sa 8e édition, le Festival des langues et cultures créoles, porté par Chantal Loïal et sa compagnie de danse, Difé kako, fait un clin au gwoka, patrimoine culturel de la Guadeloupe pour ses 10 ans d’inscription au patrimoine mondial de l’Unesco. Nés où bat notre cœur/La nou fèt,la kè an nou ka bat est le fil conducteur du festival qui a débuté dès octobre 2024 au Canada, à Londres, dans plusieurs villes de l’Hexagone, avant de réunir les publics de Guyane, Martinique et Guadeloupe, dès le 4 janvier.
De l’Océan Indien à la Caraïbe en passant par l’Afrique
Une nouvelle prouesse qui fait la fierté de la fondatrice du festival, la chorégraphe guadeloupéenne, Chantal Loïal : « C’est un grand plaisir d’avoir enfin réussi, avec cette 8e édition, à faire se rencontrer l’Océan Indien, avec le projet du comédien réunionnais, Daniel Léocadie, la Caraïbe et l’Afrique, avec la compagnie La Mboata ! »
Dimanche 19 janvier, à 17 h 30, entre danse et théâtre, le Festival Mois kréyol s’installera à Vieux-Habitants. Gwada Circus Compagnie, le comédien Daniel Léocadie, le collectif Tantak sont au programme.
Samedi 25 janvier, à 14 heures, la compagnie La Mboata (Chloé Ata A Njoya et Oswald Chelim) animeront une masterclass de danse gratuite (niveau confirmé) à Karukera Ballet (Bergevin, Pointe-à-Pitre). Suivra, à partir de 17 heures, la présentation de leur pièce chorégraphique, Kri an mwen.
Pour en savoir plus : www.lemoiskreyol.fr
