L’autopsie du corps de la jeune femme retrouvé, le 1er décembre, sur la plage de Petit-Havre (Le Gosier), n’a pas révélé de « signe évocateur » d’agression sexuelle.
Les investigations se poursuivent pour identifier l’auteur du meurtre de la jeune femme de 26 ans, dont le corps a été retrouvé à proximité de la plage de Petit-Havre (Le Gosier) par un surfeur, dimanche 1er décembre. Le SAMU a constaté son décès à 16 h 20. Sur place, la procureure, le légiste, la police technique et scientifique, ainsi que les officiers de police judiciaire ont pu constater des traces présentes sur son corps. Une enquête pour meurtre a été confiée à la brigade criminelle de la police nationale (DTPN).
Arrivée de l’Hexagone il y a trois mois, la victime exerçait en Guadeloupe dans le paramédical. Ses colocataires, présents avec elle à la plage ce jour-là, ont permis de l’identifier.
Dans un communiqué, Caroline Calbo, procureure de la République de Pointe-à-Pitre, indique que l’autopsie du corps, réalisée le 2 décembre, a déterminé que « la cause du décès était multifactorielle » et que la victime « ne présentait pas de signe évocateur d’agression sexuelle ».
Les investigations se poursuivent pour identifier l’auteur de ce crime.