Eric Jalton, maire des Abymes, président de Cap Excellence, a écrit au Premier ministre, Gabriel Attal — qui est aujourd’hui sur un siège éjectable depuis qu’Emmanuel Macron, le président de la République, a dissout l’Assemblée Nationale.
Il lui demande de rendre effectives les réparations de toutes sortes liées à la période esclavagiste dont souffrent encore les Guadeloupéens, les Martiniquais, les Guyanais, les Réunionnais, etc.
En fait, Eric Jalton, pour qui le calendrier n’a pas d’importance, il est toujours temps de réagir, répondait à un discours prononcé un mois plus tôt, le 10 mai, à La Rochelle, à l’occasion de la commémoration nationale de l’esclavage, de la traite négrière et des abolitions. Bon discours, dit M. Jalton, mais qui devrait être suivi d’actions.
Le courrier d’Eric Jalton :