Publié aux éditions L’Harmattan, en octobre 2022, La Petite économie insulaire de la Guadeloupe, de Johanna Pierre-Justin Virapatirin, docteure en sciences de gestion, est en signature, samedi 7 octobre, à la Boutique de la presse de Basse-Terre.
Qu’on ne s’y trompe pas. Inspiré par sa thèse de doctorat en gestion portant sur les styles de management insulaire au sein de la petite économie insulaire de Guadeloupe, le livre de Johanna Pierre-Justin Virapatirin est une synthèse accessible au grand public. Là où sa thèse de plus de 400 pages visait à « appréhender l’incidence du fait post-colonial sur les styles de management en Guadeloupe », le livre, deux fois moins volumineux, n’en est pas moins riche d’enseignements.
Au moment où la Guadeloupe doit faire face à son avenir, La Petite économie insulaire de la Guadeloupe aborde avec acuité les grands enjeux auxquels le territoire est confronté : économie verte, économie bleue, retour au pays, autonomie alimentaire… Un ouvrage où chacun – y compris les décideurs – devrait trouver une inspiration pour un avenir meilleur à construire ensemble.
« J’aimerais que tous les jeunes lisent ce livre »
« C’est le cadeau que je souhaite offrir à la Guadeloupe et plus particulièrement aux jeunes, explique Johanna Pierre-Justin Virapatirin, J’aimerais que tous les jeunes lisent ce livre, que tous les Guadeloupéens qui aiment leur pays puissent découvrir toutes les facettes de la Guadeloupe, présentées à travers ce livre qui s’adresse aussi aux décideurs pour structurer leur réflexion sur le management. »
Le livre, La Petite économie insulaire de la Guadeloupe, qui n’est pas destiné aux seuls spécialistes, peut aussi convenir à « ceux qui s’installent en Guadeloupe et aimeraient mieux la découvrir », précise l’auteure. Docteure en gestion, maître de conférences à l’Université des Antilles, Johanna Pierre-Justin Virapatirin enseigne à l’IUT de Saint-Claude. Elle porte une parole et une expertise qui méritent d’être lues et partagées. La Petite économie insulaire de la Guadeloupe, son premier ouvrage, n’est certainement pas le dernier.
Cécilia Larney